Bitcoin : Prêt pour la chute finale ?

Investing.com – Le reste prisonnier d’une fourchette latérale, mais certains éléments laissent penser qu’une sortie finale pourrait avoir lieu prochainement, comme l’a noté un analyste sur CryptoQuant.

Il a fait remarquer que non seulement la configuration graphique correspondait au marché baissier de 2018, mais que la baisse de la et du volume ressemblait également à l’évolution qui avait précédé la chute d’il y a quatre ans.

Le triangle qui s’est formé sur le graphique recèle un grand danger. Si le support venait à céder, il faudrait s’attendre à un mouvement de baisse très dynamique.

« Le mouvement des bitcoins détenus à long terme a diminué et la volatilité du cours a considérablement baissé.

Si la configuration en triangle descendant actuelle est achevée et que le cours franchit la ligne de soutien, il y a une possibilité de chute finale au sein du marché baissier actuel ».

Repères techniques du cours du bitcoin

Le bitcoin a perdu -1,68% à un cours de 19 199 dollars sur , alors qu’il a gagné 0,50% en base hebdomadaire.

Hier, le support du retracement de fibo de 23,6 pour cent à 19.255 dollars a pu être défendu sur la base du cours de clôture journalier. Mais aujourd’hui, les échanges se déroulent à nouveau en dessous de ce niveau et si le support devait céder en fin de journée, il faudrait alors s’attendre à une extension des pertes en direction du plus bas du 21 septembre, qui se situe à 18.191 dollars. En dessous, la marge de manœuvre pour des pertes en direction du bas de cycle de 17.630 dollars augmenterait.

Ce n’est que si l’on parvient à défendre le retracement de fibo de 23,6% qu’une reprise en direction du retracement de fibo de 38,2% de 19.914 dollars sera possible. La résistance qui se trouve ici est renforcée par la proximité immédiate de la marque psychologique des 20.000 dollars.

Si cette zone de résistance est durablement dépassée, les chances d’une extension de la reprise en direction du retracement Fibo de 50 pour cent de 20.446 dollars augmentent.

Par Marco Oehrl

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