Terra Classic: LFG et Do Kwon contestent un transfert de bitcoin de 66 millions de dollars
28.09.2022 13:23
© Reuters
Investing.com – Hier, il a été rapporté que le fondateur de , Do Kwon, avait transféré plus de 3000 d’une valeur de plus de 66 millions de dollars vers les deux bourses de crypto-monnaies KuCoin et OKX depuis un nouveau portefeuille Luna Foundation Guard (LFG).
Le parquet sud-coréen a alors demandé aux deux plateformes de geler les fonds. Dans le cadre du reportage, le LFG a déclaré qu’il n’avait pas transféré de ni d’autres jetons depuis la crise de Terra Luna en mai. Selon l’organisation, il n’y a pas eu non plus de création de nouveaux portefeuilles.
Do Kwon, qui fait l’objet d’une recherche internationale par Interpol, s’est exprimé sur Twitter (NYSE :). Selon lui, il n’a pas utilisé les deux cryptobourses mentionnées depuis au moins un an. Dans ce contexte, il fait remarquer que de nombreuses informations erronées sont diffusées :
« Ce qui est le plus étonnant dans toute cette affaire, c’est l’ampleur de la désinformation qui est diffusée. Il n’y a pas de paiement, comme on le prétend, je n’ai pas utilisé le KuCoin ou Okex, du moins pas l’année dernière. Il n’y a pas eu de gel des fonds de tfl, lfg ou d’autres sociétés ».
Terra Classic : Seuil techniques
perd actuellement -10,70 % à un cours de 0,0002623 dollar, tandis que la perte hebdomadaire s’élève à -7,88 %.
La crypto-monnaie s’est retirée de son récent plus haut de la zone de 0,0003263 dollar et a déjà franchi le support du retracement de 61,8% Fibo de 0,0002775 dollar. Si le passage sous ce support est confirmé en clôture journalière, il faut s’attendre à une poursuite du mouvement baissier en direction du niveau psychologique de 0,0002000 dollar. Ce niveau est renforcé par le retracement de Fibo de 78,6 pour cent de 0,0001921 dollar.
Ce n’est que si les haussiers parviennent à reconquérir durablement le retracement de 61,8% de Fibo que le récent sommet du 26 septembre et le retracement de 50% de Fibo à 0,0003375 dollar pourront être testés.
Par Marco Oehrl
