Les partisans de Donald Trump défendent fermement le droit aux armes à feu après la tentative d’assassinat lors d’un rassemblement
16.07.2024 18:28
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À la suite de la tentative d’assassinat dont a été victime l’ancien président Donald Trump lors d’un rassemblement en Pennsylvanie samedi, ses partisans présents à la convention d’investiture du parti républicain à Milwaukee ont exprimé une position ferme contre les réformes du contrôle des armes à feu. L’arme semi-automatique de type AR-15 utilisée pour la tentative d’assassinat a frôlé l’oreille de M. Trump. Malgré cet incident, aucun des 12 délégués interrogés n’a soutenu des mesures telles que l’interdiction des fusils d’assaut, l’augmentation de l’âge légal pour l’achat d’armes à feu ou le renforcement du contrôle des antécédents.
Les délégués, fermement opposés à toute réforme, considèrent toute mesure réglementaire comme une violation du droit au port d’armes prévu par le deuxième amendement. Ils suggèrent que l’accent soit plutôt mis sur le soutien à la santé mentale afin de prévenir les crimes commis avec des armes à feu. L’assaillant, Thomas Matthew Crooks, 20 ans, a été tué au cours de l’attaque, qui fait actuellement l’objet d’une enquête du FBI pour terrorisme intérieur.
Des délégués comme Will Boone, du Montana, soutiennent que la question centrale est celle de la santé mentale, et non celle de la possession d’armes à feu. Steve Kramer, de Géorgie, s’est fait l’écho de ce sentiment, rejetant l’efficacité des contrôles d’antécédents élargis en citant des cas où les armes utilisées dans les fusillades ont été volées. Les données de l’Institut national de la justice montrent que de nombreux tireurs de masse, à l’exception des tireurs scolaires qui volent souvent des armes à feu à leur famille, ont acheté leurs armes légalement. L’arme utilisée par Crooks appartenait à son père.
Le Parti républicain a l’habitude de bloquer les réformes de la législation sur les armes à feu, notamment après le massacre de 2012 dans une école du Connecticut. Pendant sa présidence, Donald Trump a tenté d’assouplir la législation sur les armes à feu et a réussi à annuler une réglementation de l’ère Obama qui rendait l’achat d’armes à feu plus difficile pour les personnes souffrant de troubles mentaux. Toutefois, l’administration Trump a interdit les « bump stocks », interdiction qui a été levée par la Cour suprême en juin.
Le président Joe Biden a signé un important projet de loi sur la sécurité des armes à feu en 2022, ciblant les auteurs de violences domestiques et soutenant les programmes de « drapeaux rouges ». Selon le CDC, les États-Unis ont enregistré près de 49 000 décès liés aux armes à feu en 2021, dont un nombre record de suicides et de meurtres.
Lors d’un discours prononcé devant la National Rifle Association en février, M. Trump s’est engagé à revenir sur les restrictions imposées par M. Biden en matière d’armes à feu. Matthew Rust, délégué du Wisconsin, estime qu’une population armée a un effet dissuasif sur les tireurs potentiels. À l’approche de l’élection présidentielle du 5 novembre, le débat sur le contrôle des armes à feu reste un sujet de discorde.
Reuters a contribué à cet article.
Cet article a été généré et traduit avec l’aide de l’IA et revu par un rédacteur. Pour plus d’informations, consultez nos T&C.
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